Etablissement historique qui a ouvert ses portes sur le célèbre quai de la Fraternité, le Grand Hôtel Beauvau était l’ancien bureau du maître des postes Barrochin. C’est un lieu incontournable et emblématique du Vieux-Port de Marseille. Cet imposant bâtiment en pierre datant de 1781 possède une façade maritime classée. Sa situation privilégiée lui offre une vue spectaculaire sur le Vieux-Port de Marseille. Le Grand Hôtel Beauvau est un hôtel 4 étoiles de 73 chambres et suites sur 7 étages dont la majorité - exceptées les chambres classiques – a une vue sur le Vieux Port de Marseille. Par ailleurs, l'hôtel s'apprête à s'agrandir, il comptera bientôt 26 chambres supplémentaires, une salle de réunion, une salle de fitness et un espace bien-être ! Elégance, chic et authenticité sont les valeurs qui rythment cet hôtel et qui ont charmé les plus grands voyageurs du XIXème siècle de George Sand à Alfred de Musset, en passant par Fréderic Chopin ou encore Alphonse de Lamartine, tous y ont séjourné parce qu’ils voyaient en le Beauvau un lieu d’inspiration où la magie opère... C’est dans cet esprit d’invitation au voyage qu’a été pensé l’hôtel, son ambiance, sa décoration. L’esprit pittoresque se retrouve également dans les chambres où tout vient à rappeler que nous sommes en Provence. Les clients sont accueillis par des couleurs vives et chaudes, des draperies en tissus inspirés des designs du XVIIe siècle, et des meubles tels que des armoires et des commodes Empire ou Napoléon III qui ont été collectés au fil des ans sur les marchés de Provence. Partout, des revues de voyage, des livres et d’autres œuvres des illustres anciens voyageurs de l’hôtel attendent d’être dévorés. Seuls les équipements tout confort et hauts de gamme viennent rappeler que nous sommes au 21e siècle. On petit déjeune avec quelques navettes en observant les badauds se mirer dans l’Ombrière de Norman Foster sur le Quai de la Fraternité. Depuis les terrasses privatives des duplex et des suites on regarde les bateaux quitter le port. L’invitation au voyage qu’ont connu les romantiques et les orientalistes fait toujours son effet.